Retrouvez le plaisir d'aider votre enfant pour ses devoirs

Retrouver le plaisir de guider son enfant

Les parents éprouvent un immense plaisir à guider le petit bébé pour qu'il apprenne à marcher, à parler, à faire du vélo... Mais quand arrivent les devoirs, où passe le plaisir ?

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Souvenez-vous quand votre enfant était tout petit, tout bébé. Souvenez-vous du plaisir que vous aviez éprouvé à le voir tenter de se mettre debout, essayer de garder son équilibre, puis de faire ses premiers pas.
Souvenez-vous des premiers mots qu'il a prononcé, "Maman", "Papa", "gâteau". Et de la fierté que vous avez ressenti lorsqu'il a formulé ses premières phrases.
Et je passe les expériences avec les copains et copines, avec le vélo, avec l'entrée à l'école et les classes de maternelle et toutes les expériences dans lesquelles vous avez pris plaisir à guider votre enfant.

Et puis vient le temps des premières leçons à apprendre à la maison et des premiers devoirs.
Et les premières leçons et les premiers devoirs devraient aussi se passer aussi bien pour l'enfant et pour vous, parent.
Dans l'idéal, ça devrait être une continuité des plaisirs et de la fierté que vous avez jusque là éprouvé vis-à-vis des efforts et des progrès de l'enfant. La fierté de guider son enfant vers son avenir.
Dans l'idéal, l'enfant devrait rentrer de l'école, fatigué peut-être mais heureux de ce qu'il a appris, fier de vous montrer ses progrès. Après un petit goûter pour recharger les batteries, et après quelques moments à jouer, idéalement l'enfant devrait se mettre facilement à apprendre ses leçons, et dans la foulée faire les exercices qui sont dans ses devoirs à la maison.

Dans l'idéal...

Les statistiques diverses montrent qu'entre 10% et 15% des élèves sont sujets à des difficultés scolaires profondes de type dyslexie ou autre troubles dys. Et certaines statistiques faites auprès des parents vont même jusqu'à 59% des parents pour qui le temps des devoirs est un temps de galère difficile à vivre.

Ça ne devrait pas être comme ça, chaque parent devrait pouvoir aider facilement et sereinement son enfant pour ses devoirs.

Oui, mais alors comment faire ?

Pour répondre à cette question importante, et sans vouloir trop rentrer dans les détails de la mécanique de la pensée que nous verrons plus en détail dans la formation dont je vous parlerai à la fin de ce podcast, voici quelques explications.

Nous les êtres humains pouvons utiliser notre cerveau de deux manières différentes et complémentaires.
Tout d'abord, et comme tous les mammifères, nous pouvons avoir une représentation mentale du monde extérieur, une image.
Cette image est parfois une image visuelle, une image que nous avons pu voir avec nos yeux et que notre cerveau ramène à notre conscience. L'image peut également être une image visuelle que l'on construit à partir de fragments d'autres images, comme quand je vous dit de penser à un éléphant qui fait du patin à roulette sur quatre voitures. À moins d'avoir déjà vu cette scène, vous allez assembler des images connues pour en créer une nouvelle.
Et la représentation mentale peut également être un son, une chanson, un bruit entendu et remémoré ou bien créé de toutes pièces. Ou encore une sensation, comme la chaleur du soleil sur la peau un jour d'été sur une plage.

Bref, nous avons tous à notre disposition ce langage interne, cette manière de penser que nous appelons "pensée en image" ou "pensée non verbale".

Mais à partir de l'instant où le tout jeune enfant commence à apprendre à parler, petit à petit il intègre également une autre forme de pensée qui, elle, est le propre de l'être humain. Même si l'on sait que certaines espèces animales disposent également d'un langage limité.

Quasiment tout le monde a à sa disposition la pensée verbale, la pensée en mot, la parole intérieure ou petite voix interne.

Et vous avez remarqué que j'ai dit "quasiment tout le monde". Parce que effectivement, quelques très rares personnes n'ont pas du tout de pensée verbale, de pensée en mots. Attention, cela ne veut surtout pas dire que ces personnes ne pensent pas, simplement elles pensent avec des images mais pas de mots, pas de phrases. Et c'est très souvent une pensée extrêmement rapide, bien plus rapide que la pensée en mots.

Bref, je ne voulais pas trop m'éterniser sur le sujet mais c'est important de bien faire cette différence.

Parce que nous avons tous un mode de pensée préféré. Ce qui ne veux pas dire exclusif, mais préféré, selon les sujets, selon les moments, selon la forme ou la fatigue. Bref notre choix est relativement variable...

Certaines personnes sont fortement typées "pensée verbale" ou "pensée non-verbale". D'autres personnes sont plus versatiles et savent mieux utiliser les points forts des deux modes de pensée.

Et nous en venons à l'école, à l'apprentissage, aux leçons et aux devoirs.

Les enfants qui sont à l'aise avec la pensée verbale, avec les mots dans la tête auront naturellement plus de facilité à l'école et pour les devoirs, parce que les mots sont omni-présents, les mots sont la porte d'entrée de tout ce qu'ils doivent apprendre. Que ce soit à l'école quand l'enseignant donne son cours, ou à la maison quand il s'agit de lire ses leçons ou lire les consignes des devoirs.

Mais les enfants qui ne sont pas à l'aise avec la pensée verbale peuvent avoir plus de difficultés, pouvant aller de simples lourdeurs pour apprendre à des véritables troubles de l'apprentissage tels que la dyslexie, dyscalculie et autres dys de la famille.

Alors, comment faire ? Que faire avec un penseur en images ? Comment donc apprend un penseur en images ?
La réponse est dans la question. Je repose la question "comment apprend un penseur en images ?"
Tout simplement avec des images !
Or les cours, les livres, les leçons, les devoirs et même les explications pour tenter de faire comprendre sont des mots. Et ces mots, il faut les traduire en images.

C'est là où se situe le problème. L'enfant qui pense fortement en images et qui, pour quelque raison que ce soit n'a pas trouvé la méthode pour traduire les mots en images est devant un mur infranchissable. Il n'a pas les outils nécessaires pour franchir ce mur.

En tout cas, jusqu'à maintenant votre enfant n'avait pas les outils.

Une petite question : combien de temps avez-vous déjà passé à répéter, et répéter, et répéter encore et encore les mêmes leçons, les mêmes règles de grammaire, l'orthographe des mêmes mots, les fleuves de France ?
Comment ce serait si, au lieu de répéter et que le savoir se perde, vous preniez un peu de temps pour lui apprendre à faire des images et à conserver ces images dans son imagination ?
Laissez-moi vous dire : vous allez gagner du temps. Et en plus du temps gagné, vous allez économiser de l'énergie, éviter bien des frustrations et retrouver le plaisir d'aider votre enfant. Tout comme quand il a fait ses premiers pas ou ses premiers tours de vélo.

Alors pour résumer, la meilleur chose à faire avec votre enfant qui n'arrive pas à apprendre ses leçons et à faire ses devoirs, c'est d'arrêter de répéter en utilisant des mots, et d'apprendre avec lui à faire des images.
Et c'est pour cette raison que la formation pour les parents "Pourquoi Tyrannosaure mais pas Si ?" a été crée. L'objectif de cette formation est de vous donner tous les outils nécessaires pour vous aider à transformer les mots et les phrases d'une leçon, d'un devoir en images. Mais également de vous aider à guider votre enfant pour qu'il fasse des images de lui-même.

C'est une formation en six modules de deux heures, six modules hebdomadaires en groupe et en visio.
Dans chaque module vous allez découvrir des techniques destinées à faciliter l'apprentissage de votre enfant et ainsi regagner de la sérénité pendant les devoirs.

Souvenez-vous que ce n'est pas seulement une question de bonnes notes pour votre enfant. C'est une question de changer sa vie.

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